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    Bonjour,

    Ces ampoules sont remplacées par des ampoules LED (light emitting diodes, diodes électroluminescentes)ou LFC ( lampe compacte fluorescent ou compact fluorescent lamp)moins gourmandes en énergie mais plus chères aussi.

    Economie 90 % en énergie

    durée de vie : 25 ans

    prix : entre 5 et 50 euros

    le problème que j'ai souvent vu, c'est le culot. Lequel est le bon. 

    Voici quelques indications...

    en génral, E27 c'est un gros culot

    E14 c'est un petit culot

    ampoules LED E27 gros culot a vis, (le plus utilisé)

    ampoules LED E14 petit culot à vis

    ampoules LED B22 : gros culot a baïonnette (plus très utilisé, ancienne norme)

    ampoule LED GU10 petit spot (plafond ou rail).

    les R7s (lampadaires halogènes) et les R9 (forme de capsules) sont autorisées

    oh purée, il faut que je remplace toutes mes ampoules!

    et non, seul compte la vente pas l'utilisation, vous pouvez garder vos anciennes ampoules jusqu'à ce quelles grillent

     

    Les ampoules halogènes

     

    Les ampoules halogènes

     

     

    et , comme d'habitude, un lien : https://www.silamp.fr/culot-ampoule

     

    Les ampoules halogènes

     

    Les ampoules halogènes

     

     

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  • Après l'espace, les plages.

    bonjour,

    il se trouve qu’ayant exercé sur une côte touristique très fréquentée par les touristes, les plages étaient sales.

    Non pas que les touriste les salissaient, au contraire, ils sont soigneux maintenant, mais la marée apportait quantité de déchets, jetés par les bateaux ou apportés de loin par le jeu des courants.

    Résultat: tout les matin entre 4h et 5 h, , je dis bien tous les matins, les services techniques étaient obligées de retirer le sable avec les déchets sur toute la plage (qui est grande) normale c'est une anse.

    Ils venaient avec des gros camions , pas mal de tracteurs équipées de godets et ils remplissaient la benne plusieurs fois de suite. Le contenu allant directement au recyclage. Un coût certain pour les riverains et la municipalité d'ailleurs.

    Est ce normal ?

    Non bien sur, et cela se répète touts les étés partout ou il y a des plages, autant dire sur tout le littoral.

    Il y a à des week end ou les gens peuvent venir nettoyer bénévolement les plages, c'est une goutte d'eau mais utile. Et il y a du monde !

    Puis il y a les gens, dont je fais partie, qui ramassent les déchets même quand il n'y à pas de jours pour ceci juste parce que c'est sale et que ça pue.

    Si vous saviez ce que l'on trouve !

    la montre, la bague en or oubliez ! autant ne pas y penser, on ramasse plutôt des cordages, du polystyrène en quantité industrielle, les lignes de pèche, des bouteilles plastiques (en grand nombre), des filets, des casiers, des trucs indéfinissables,des oiseaux morts, des animaux,(je ne sais pas lesquels) morts aussi...

    Donc, si vous venez au bord de la mer, ne jetez rien dedans, la cour est pleine! un jour ou l'autre, ca remonte et merci le nettoyage.

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  • si ce n'est le meilleur,

    Bonjour,

    je vous donne tout de suite le lien : http://orbit.medphys.ucl.ac.uk 

    après les flight simulator de toute année et c'est devenu très très lourd, après en avoir fait le tour

    il fallait prendre un peu de hauteur, c'est chose faite avec cet excellent simulateur de vol dans l'espace

    vous pouvez si vous le souhaitez rejoindre la lune, voler sur un paysage, (attention à ne pas tourner sur soi indéfiniment) ca ne s'arrête pas et ca va en s'amplifiant ben oui, il flotte librement la gravité est nulle.

    Après avoir essayé tous les FS du premier au dernier, je peux vous dire que celui ci, le space flight simulator zqt très nettement superieur et pas gros surtout (on est même ps forcé de l'installer, c'est tout dire. Je vous conseille de le mettre dans un fichier tout de même.

    il y a une communauté énorme et des add-on à profusion, le tout c'est de choisir et le choix est cornélien.

    Je serais pas étonné que la nasa..... vu la qualité de la simulation

    Un excellent simulateur de vol dans l'espace

    Un excellent simulateur de vol dans l'espace

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  • la suite...

    Wilson le lucentois arriva au château du roi Arthur, il le vit et le salua.

    Après avoir un peu dialogué avec lui, il en conclu ceci :

    Par ma foi, dit alors le valet, ce roi ne fit jamais chevalier !

    Le roi sortit de ses pensées et lui dit : « beau fils, soit le bienvenu. Mais le chagrin m’empêche de beaucoup parler.

    C’est le chevalier vermeil de la foret de Quinqueroi. Il à commis une laide et vilaine action.

    Le valet n’a cure des allégations du roi.

    « Faites moi chevalier car je veux m’en aller mais je veux l’armure vermeille »

    Le roi répondit : « ami, vous avez raison ! N’attendez pas ! Enlevez lui ses armes, elles sont à vous »

    Le valet rattrapa le chevalier à l’armure vermeille et lui dit ceci  : ôtez donc votre armure ou c’est moi vais vous en débarrasser !

    Cette fois le chevalier se fâcha, pris sa lance à deux mains et  porta un  tel coup par le travers de son épaule qu’il le fit basculer sur le col de sa monture. Le valet, qui se sent blessé visa l’œil avec son javelot. L’arme pénètre par l’œil puis dans le cerveau et le sang et la cervelle jaillir par la nuque.

    Le chevalier atteint mortellement, s’écroula au sol, le valet descend de son cheval puis lui enlève d’un seul tenant, l’armure, le heaume et les armes.

    (je n’ai pas parlé volontairement du chevalier Yonet ni de keu, pour l’instant)

    Sir, soyez joyeux, je vous rapporte votre coupe, c’est votre chevalier  qui vous la renvoie.

    De quel chevalier parles-tu ? Tu veux dire  le valet gallois  qui me demanda l’armure teinte de sinople ?

    Sir, tout ce que je vis fut un javelot qui pénétra l’œil puis en ressorti par la nuque en emmenant la cervelle.

    Tu es si simple  et de pauvre entendement qu’un autre chevalier te régler ton compte en un tournemain.

    Le valet, dépité et déçu ne s’attarda pas. Il s’en alla vers la forêt à cheval. Il y vit une colline rocheuse à laquelle était suspendu un riche et fort château.

    Un prud'homme se promenait nonchalamment sur le pont, attenant un étranger qui passe.

    Le jeune gallois le salua.

    « Dieu te bénisses, beau frère, dit le prud'homme, d’où viens tu ? « il avait vu un valet un peu sot et naïf.

    « De la cour du roi Arthur. »

    Qu’y fis-tu ?

    Le roi m’a fait chevalier .

    Dis-moi, gentil frère, cette armure qui t’en fit présent ?

    C’est le roi qui me la donna.

    Donna ? Et comment ?

    Le valet lui conte ce que vous avez ouï.

    Votre armure ? qu’en faites-vous ?

    Et bien, elle est si légère qu’elle ne me gêne en rien.

    « Mais qu’avez-vous de plus à me dire ? S’engueusa le prud’homme

    En fait, je vous demande hôtel pour cette nuit.

    « Très volontiers »

    Mais d’abord il faut apprendre a vous servir de vos armes.

    La dessus, il déploie l’enseigne et lui contre comment porter l’écu, il lui montre aussi comment monter à cheval.

    Trois fois, il lui montra comment se servir de l’épée de la lance, à la dernière, il lui dit :

    « Ami, que feriez vous si vous rencontrez un chevalier ?

    Je le frapperai à mon tour !

    Et si votre lance se rompait ?

    Alors il n’y aura plus qu’à courir sus et à jouer des poings !

    « Ami, rien de pareil, dit le prud'homme.

    Ainsi, plantant tout droit l’épée dans le sol  et désireux de pousser la leçon jusqu’au bout, il se saisit de l’épée, se met en garde pour l’attaque et la défense.

    « C’est ainsi qu’il faudra parer et fondre sur l’adversaire, dit le prud'homme.

    Dieu de me protège, dit le valet.

    « Beau doux ami, mon nom est Gornemant de Goort, allons au château, vous y serez mon hôte honoré

    Ils viennent ainsi au château, ils lavèrent leur main,  puis prirent place à table.

    Ils mangèrent et burent autant qu’ils en eurent envie.

    Puis, après, le gentil'homme lui dit ceci :

    « Ne dites jamais à votre mère que je vous ai appris ceci ou cela. Pardonnez-moi, mais il faut vous corriger car si vous persistez on vous tiendrait à la folie. Gardez vous en donc.

    Que dire alors ?

    Dites simplement que c’est le vavasseur qui vous chaussa l’éperon.

    « Sir, je vous promet que tant que je vivrais, il n’y aura jamais mot sonné que de vous. Je vois clairement que vous avez raison.

    Beau sir, dit le prud’homme, allez ! Et que Dieu vous préserve et vous conduise.

    Vous êtes impatient de partir, allez donc, et adieu.

    a suivre...

     

    il me faut du temps pour lire le livre, pour comprendre pour adapter le texte, mais c'est pas malwink2

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  • Bonjour,

    Très largement et très simplement(dans le sens faire simple) inspiré de  Perceval le gallois et le graal (la légende arthurienne).

    IL y a un nombre de version considérable de Perceval (histoire), j’ai choisi celle ci. En vieux francais, en vieil anglais et en prose s'il vous plait; C'est très difficile à lire.

    a l'origine, c'était écrit en vers en en vieux français par un auteur dont je parle un peu, en bas. Dans le légende arthurienne (qui n'a pas existé rappelons le), i y a au moins 40 héros ou héroïnes et les sous héros, le livre fait 1 195 pages. (je l’ai pas encore fini) remarquez le seigneur des anneaux fait plus de 2500 pages (je l'ai pas encore fini non plus)

    Il y a perceval, Gauvain,Perlesvaus,calixte, le chevalier couard, le graal bien sur, tintagel (ecrit comme ça)

    Avalon, le roi Arthur,mordret, guenivre,  keu, Yonet, merlin, ou merzhin, melian de lis, caradoc, Aalardin, cador, codoalant(roi), yde, meraufis de portlesguez, meliador, hunbaut, la demoiselle à la mule des tas de chevaliers etc...il y en a une foule et entre les pères et les fils et les filles et les mariages et les naissances, il y a quoi s'y perdre.En royaume des francs, en Angleterre, en Bretagne (sud de l’Angleterre), en Armorique....

    Chrétien de Troyes à fait lui même une "légende arthurienne", il est bien ce type, mais il est mort avant d'avoir fini (au moyen age), sa lecture est très complète et complexe.

    Toute similitude avec un personnage existant ou ayant existe serait fortuite, ou peut être pas…

    Le texte original à été écrit au 12 ème siècle, voici une partie selon Steve.

     Le voyage de Wilson

     

    L’histoire se passe, il y a fort longtemps, c'est-à-dire au moyen âge, place à l’histoire….

    C’étais un garçon d’environ 16 ans, il avait une chevelure abondante, un nez droit et de grand yeux bleus

    Il était vêtu comme les paysans, normal puisque c’en était un.                                                L’inconvénient, c’est qu’il n’était pas grand mais il était très musclé.

    Il vivait modestement avec sa mère, qui travaillait dur, Lui aussi travaillait dur, mais il ne pensait d’a devenir chevalier bien qu’il n’en ai jamais vu. L’idée qu’il s’en faisait, le grandissait.

    Pour lui, voler au secours d’une jeune fille, attaquer les brigands, sauver la veuve et l’orphelin faisait partie de son être tout entier.

    C’était, parait il, les plus beaux et les plus valeureux des hommes.

    Il retournait le foin, nettoyait la cours, faisait milles petits travaux qui embellissaient la ferme et qu’il fallait recommencer chaque jour.

    Un matin, alors qu’il était en pleine besogne, quatre  chevaliers firent halte chez lui car ils recherchaient un groupe de voleurs.

    Quelle ne fut pas la stupéfaction du petit Wilson, il voyait des chevaliers pour la première fois et il en eut les yeux tout écarquillés.

    Holà manant, as-tu vu passer un groupe de  voleur ?

    Il était comme pétrifié tellement ils avaient de la prestance sur leurs beaux destriers, leur droiture, leurs armes aussi. C’est décidé il serait chevalier.

    Je les ai vu messire, ils partaient en direction de la forêt de non retour clama t il.

    Moi aussi je voudrais devenir chevalier, j’en ai l’envie et la capacité !

     Un éclat de rire fendit l’air.

    Toi ?

    Tu dois d’abord aller voir le roi pour qu’il t’adoube chevalier puis ta vie ne sera faite que de taverne à travers le pays, tu erreras beaucoup,  tu prendras des coups, tu seras pauvre mais tu seras chevalier.

    Et votre armure et vos armes, sont elles à vous, le cheval aussi ?

    Dés qu’il eu fini de poser toutes ses questions, Les chevaliers s’en furent à bride abattu à la recherche des voleurs.

    Lors du retour  de sa mère, des champs, il n’en pouvait plus et lui tint ce langage :

    Mère, je vais devoir partir, mon devoirs m’appelle, je serais chevalier !

    Mais grand sot, tu n’as pas le moindre écu d’avance, tu n’as pas de cheval et encore moins d’armure et puis tu vas me laisser seule, je vais avoir du mal à  faire toutes les tâches.

    Sa mère se doutant qu’un jour, Wilson partirait à l’aventure et la laisserai choir.

    Mon fils, dit elle, il faut que tu me jure de bien respecter les dames, tu pourra leur donner un baiser mais ce sera tout, et puis tu leur prendra leur anneau, si elle te le donne seulement.

    Il faut que tu me promettes ça !

    Wilson, promit, déjà il pensait avoir une posture de chevalier

    Reste à trouver l’armure, l’arme et le cheval et le bouclier.

    En guise d’armure, il prit une cotte en cuir épais que fermait des lacets, en guise d’arme, point d’épée, tant pis, il prendrait ses deux javelots puisqu’il excellait au lancer de javelot et, l’âne de la maison remplacera bien le cheval, tant pis pour le bouclier.

    Le voila parti avec tout cet accoutrement fait de bric et de broc pour rencontrer le roi Arthur  qui, parait il, adoubait les jeunes gens en chevalier.

    Sa mère le regarda partir, tout en pleurant, non pas de tristesse mais parce qu’elle se retrouvait  seule. Elle devrait faire aussi le travail de son fils parti.

    Il écoutât peu ce que disait sa mère.

    D’un coup de baguette il cingla sa monture, la bête bondit et l’emportât à grande allure dans la forêt.

    Il chevauchait depuis fort longtemps lorsqu’il aperçut un grande et merveilleuse tente,

    Vermeil d’un coté vert de l’autre et bordée d’orfroi. Au dessus un aigle doré qui s’empourprait aux rayons du soleil. Autour de la tente, il vis de loges galloise (cabanes faite de branches entrelacées).Ma mère avait raison, dit il après d’être hâté vers la tente. Il la trouva ouverte, il vit un lit sur lequel dormait une damoiselle (ou demoiselle), elle était seule, puisque ses pucelles étaient allées cueillir des fleurettes nouvelles pour en joncher le sol de la tente.

    « Pucelle, je vous salue ! »

    La pucelle tremblait de peur devant le valet (jeune homme en attente d’être chevalier) qui lui semble fou et elle-même se considéra comme folle de d’être laissée surprendre toute seule.

    « Passe ton chemin, valet ! » lui lança t elle.

    Pas avant de vous prendre un baiser ! Rétorqua t il.

    Si mon ami te trouve, tu es un homme mort.

    Le valet était très robuste et l’enserra pour l’embrasser, ce qu’il fit.

    « Ma mère m’a dit de prendre l’anneau qui est à votre doigt »

    « Tu ne l’aura pas dusses tu me l’arracher de force vive.

    Il lui étendit la main puis de force, Il se saisit de l’anneau puis le mis à son doigt.

    Elle pleura et dit au valet : « laisse moi mon anneau, il m’en coûtera cher et toi tu risques d’y perdre la vie tôt ou tard, je te le promets ».

    Ses menace ne le touchèrent guère, puis comme il avait jeûné longtemps, il mourrait de faim il attaqua un des trois pâtés de chevreuil qui se trouvaient là puis bu du vin qui se trouvait là aussi.

    Après avoir englouti un pâté complet, il parti, avec la permission de la pucelle.

    Bientôt, revint du bois son ami. Elle lui fit acte de tout ce qui s’était passé, le pâté, l’anneau

    « J’aurai mieux aimé mourir que de me le voir ainsi enlevé ! »

    « Tu ne me dis pas tout »

    « Sir, il me prit un baiser aussi

    Un baiser ?

    Oui, je vous le dit et ceci est bien malgré moi.

    Je vais trancher la tête de cet individu,  c’est tout le châtiment que j’en prendrai »

    Le dessus, il commença à manger l’autre pâté.

                 …………………………………………………………………………………………..

    Vilain, dit le valet, enseigne moi la route la plus route pour me mener au roi Arthur, on dit qu’il y fait des chevaliers.

    Le vilain indiqua la route et rajouta « tu y trouveras le roi Arthur, joyeux et triste. »

    « Ah bon ! Pourquoi est-il entre la joie et la douleur ? »

    Il a vaincu avec son armée le roi des îles, voici pourquoi il est réjouit, mais il est fâché de voir que ses compagnons l’aient quittés pour aller séjourner dans un château.

    Le valet vit sortir du château un chevalier qui tenait en sa main droite un coupe en or et de sa gauche, sa lance, son frein et son écu. Il portait une armure vermeille qui lui seyait bien.

    Diantre, je vais demander la même armure au roi.

    a suivre.....

     

     

     

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