• Le voyage de Wison de Lucent 2 me partie

    la suite...

    Wilson le lucentois arriva au château du roi Arthur, il le vit et le salua.

    Après avoir un peu dialogué avec lui, il en conclu ceci :

    Par ma foi, dit alors le valet, ce roi ne fit jamais chevalier !

    Le roi sortit de ses pensées et lui dit : « beau fils, soit le bienvenu. Mais le chagrin m’empêche de beaucoup parler.

    C’est le chevalier vermeil de la foret de Quinqueroi. Il à commis une laide et vilaine action.

    Le valet n’a cure des allégations du roi.

    « Faites moi chevalier car je veux m’en aller mais je veux l’armure vermeille »

    Le roi répondit : « ami, vous avez raison ! N’attendez pas ! Enlevez lui ses armes, elles sont à vous »

    Le valet rattrapa le chevalier à l’armure vermeille et lui dit ceci  : ôtez donc votre armure ou c’est moi vais vous en débarrasser !

    Cette fois le chevalier se fâcha, pris sa lance à deux mains et  porta un  tel coup par le travers de son épaule qu’il le fit basculer sur le col de sa monture. Le valet, qui se sent blessé visa l’œil avec son javelot. L’arme pénètre par l’œil puis dans le cerveau et le sang et la cervelle jaillir par la nuque.

    Le chevalier atteint mortellement, s’écroula au sol, le valet descend de son cheval puis lui enlève d’un seul tenant, l’armure, le heaume et les armes.

    (je n’ai pas parlé volontairement du chevalier Yonet ni de keu, pour l’instant)

    Sir, soyez joyeux, je vous rapporte votre coupe, c’est votre chevalier  qui vous la renvoie.

    De quel chevalier parles-tu ? Tu veux dire  le valet gallois  qui me demanda l’armure teinte de sinople ?

    Sir, tout ce que je vis fut un javelot qui pénétra l’œil puis en ressorti par la nuque en emmenant la cervelle.

    Tu es si simple  et de pauvre entendement qu’un autre chevalier te régler ton compte en un tournemain.

    Le valet, dépité et déçu ne s’attarda pas. Il s’en alla vers la forêt à cheval. Il y vit une colline rocheuse à laquelle était suspendu un riche et fort château.

    Un prud'homme se promenait nonchalamment sur le pont, attenant un étranger qui passe.

    Le jeune gallois le salua.

    « Dieu te bénisses, beau frère, dit le prud'homme, d’où viens tu ? « il avait vu un valet un peu sot et naïf.

    « De la cour du roi Arthur. »

    Qu’y fis-tu ?

    Le roi m’a fait chevalier .

    Dis-moi, gentil frère, cette armure qui t’en fit présent ?

    C’est le roi qui me la donna.

    Donna ? Et comment ?

    Le valet lui conte ce que vous avez ouï.

    Votre armure ? qu’en faites-vous ?

    Et bien, elle est si légère qu’elle ne me gêne en rien.

    « Mais qu’avez-vous de plus à me dire ? S’engueusa le prud’homme

    En fait, je vous demande hôtel pour cette nuit.

    « Très volontiers »

    Mais d’abord il faut apprendre a vous servir de vos armes.

    La dessus, il déploie l’enseigne et lui contre comment porter l’écu, il lui montre aussi comment monter à cheval.

    Trois fois, il lui montra comment se servir de l’épée de la lance, à la dernière, il lui dit :

    « Ami, que feriez vous si vous rencontrez un chevalier ?

    Je le frapperai à mon tour !

    Et si votre lance se rompait ?

    Alors il n’y aura plus qu’à courir sus et à jouer des poings !

    « Ami, rien de pareil, dit le prud'homme.

    Ainsi, plantant tout droit l’épée dans le sol  et désireux de pousser la leçon jusqu’au bout, il se saisit de l’épée, se met en garde pour l’attaque et la défense.

    « C’est ainsi qu’il faudra parer et fondre sur l’adversaire, dit le prud'homme.

    Dieu de me protège, dit le valet.

    « Beau doux ami, mon nom est Gornemant de Goort, allons au château, vous y serez mon hôte honoré

    Ils viennent ainsi au château, ils lavèrent leur main,  puis prirent place à table.

    Ils mangèrent et burent autant qu’ils en eurent envie.

    Puis, après, le gentil'homme lui dit ceci :

    « Ne dites jamais à votre mère que je vous ai appris ceci ou cela. Pardonnez-moi, mais il faut vous corriger car si vous persistez on vous tiendrait à la folie. Gardez vous en donc.

    Que dire alors ?

    Dites simplement que c’est le vavasseur qui vous chaussa l’éperon.

    « Sir, je vous promet que tant que je vivrais, il n’y aura jamais mot sonné que de vous. Je vois clairement que vous avez raison.

    Beau sir, dit le prud’homme, allez ! Et que Dieu vous préserve et vous conduise.

    Vous êtes impatient de partir, allez donc, et adieu.

    a suivre...

     

    il me faut du temps pour lire le livre, pour comprendre pour adapter le texte, mais c'est pas malwink2

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